Cette première carrière a été très enrichissante mais je savais au fond de moi que cette voie n’était pas vraiment la mienne.
Je suis née dans une famille éprise de justice et j’ai porté le rêve de mes ancêtres (grands-pères et père).
Cela n’a jamais été exigé de moi. C’est un « rêve » qui s’est transmis inconsciemment de génération en génération.
Je suis devenue avocate.
C’est ainsi qu’en 2017, à l’âge de 40 ans, j’ai décidé de quitter le droit et de donner un nouveau sens à ma vie. J’ai entrepris ce changement, pas à pas, en douceur.
J’ai d’abord diminué mon temps de travail pour consacrer davantage de temps à ma famille, en particulier à ma fille que je ne voyais que trop peu puisque je dédiais chaque instant à mes activités professionnelles.
Mon temps partiel m’a également permis de consacrer une matinée par semaine à des activités bénévoles. Je suis devenue marraine de la Fondation suisse Terre des Hommes, active auprès des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) dans le cadre du programme « Voyage vers la vie ».
Parallèlement, je me suis passionnée pour de nouveaux domaines, à savoir les neurosciences, la psychologie de l’enfant et la surefficience, guidée par mon entourage comptant plusieurs zèbres. Des petits, des grands et même de vieux zèbres, neuro-atypiques, ultrasensibles et multi-potentiels.
J’ai ainsi découvert Catherine Gueguen, pédiatre, Christel Petitcollin, formatrice en communication et en développement personnel, Jeanne Siaud-Facchin, psychologue, psychothérapeute et spécialiste de la surefficience et Isabelle Pailleau, psychologue clinicienne du travail et des apprentissages.
C’est grâce à ces quatre femmes inspirantes et à travers leurs ouvrages que j’ai trouvé ma nouvelle mission de vie : Accompagner des enfants et des adolescents.
Je me suis alors formée afin de consacrer ma deuxième partie de vie professionnelle aux jeunes en difficulté d’apprentissage.
Mes compétences sont désormais centrées sur la psychologie et la pédagogie positive, les neurosciences et la surefficience.