J’accompagne les enfants, les adolescents et les jeunes adultes, sans distinction, quel que soit leur profil, avec ou sans particularité (HP, hypersensibles, DYS, etc.), pour leur permettre de faire émerger leurs talents et potentiels multiples et renforcer leur estime d’eux-mêmes afin qu’ils reprennent sereinement le chemin des apprentissages et de la réussite.
Je me réjouis qu’ils puissent se révéler à eux-mêmes et au monde et réalisent les rêves qu’ils portent en eux.
Mes accompagnements se font toujours conformément aux valeurs qui me sont chères :
Les fondements de mon approche thérapeutique sont les suivants :
On a tous du talent mais on est tous différents !
Chaque enfant a du potentiel !
Parfois caché, enfoui, nié ou que partiellement reconnu et qui ne demande qu’à être révélé.
C’est là que j’interviens en tant qu’éclaireuse pour les mettre en lumière et les valoriser.
On peut apprendre à tout âge, à condition d’y trouver du plaisir et du sens !
Chaque individu peut apprendre, à tout âge. Les neurosciences l’ont démontré.
Parfois le goût d’apprendre s’est amenuisé, voire éteint.
Mais l’enfant peut retrouver à tout moment le plaisir d’apprendre. Il n’est jamais trop tard.
En étant pleinement à l’écoute de l’enfant, de son fonctionnement et de ses besoins, on y parvient !
Il doit d’abord apprendre à mieux se connaître et à s’approprier des méthodes d’apprentissage qui lui conviennent. Je l’y aide en proposant des solutions adaptées, notamment créatives, visuelles, kinesthésiques, etc.
On peut apprendre à apprendre !
Les auteurs d’un article récemment paru dans la Harvard Business Review mettent en évidence le fait que l’une des métaconnaissances essentielles est d’apprendre à apprendre.
Il est en effet très important de muscler sa flexibilité mentale, créative et attentionnelle car le potentiel et la capacité d’un individu à mobiliser ses compétences et de les appliquer à des situations nouvelles sont désormais bien plus importants que ses diplômes ou que sa performance intrinsèque.
Il est donc essentiel d’apprendre à apprendre pour mieux se réinventer, désapprendre, s’adapter et performer !
Dans le cadre de mes accompagnements, j’apprends à mes patients à apprendre, en tenant compte de leur fonctionnement cognitif, propre à chacun, i.e. en leur transmettant des outils adaptés à leur manière d’apprendre.
(Harvard Business Review, Gabrielle Helpern, Olivier Fronty « les quatre métaconnaissances du futur »).
Il faut donner du sens à ce qu’on fait !
On peut trouver du sens en chaque chose. Le sens est particulièrement important pour l’enfant pour lui permettre un bon apprentissage.
En effet, pour que l’enfant apprenne de manière optimale et sans difficulté, il doit comprendre à quoi va lui servir une nouvelle connaissance.
(Re)trouver du sens dans ce qu’il fait est donc primordial. Un sens qui a du sens.
Ceci est particulièrement important pour l’enfant à haut potentiel pour qui il est très difficile d’intégrer de nouvelles connaissances s’il ne comprend pas l’utilité de celles-ci.
Osons être créatif, même dans les apprentissages
Selon Albert Einstein « la créativité, c’est l’intelligence qui s’amuse ». Laissons donc libre cours à notre créativité, même dans le cadre des apprentissages.
On sait aujourd’hui qu’on peut apprendre – même plus facilement pour certains – en musique, en dessinant et/ou en bougeant !
Stop au neuromythe qu’il faut être assis, seul, figé dans le silence face à sa leçon pour apprendre.
Désormais, des méthodes de révision ludiques et créatives, telles que le sketchnoting ou des playlists « for study » existent et aident les écoliers et les étudiants à mieux mémoriser.
On ne se trompe jamais, on apprend
Vous connaissez sans doute la fameuse citation de Nelson Mandela : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ». En effet, l’échec n’existe pas. Les erreurs sont sources d’apprentissage et souvent des étapes indispensables sur le chemin de la réussite. « Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme » disait Winston Churchill. Il ajoutait : « le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal. C’est le courage de continuer qui compte ». On se souvient aussi de Thomas Edison et de ses 700 essais infructueux avant que son rêve ne prenne vie : éclairer les foyers à l’aide d’un courant électrique passant à travers un simple filament de carbone. L’ampoule était née ! On peut aussi penser à l’enfant qui fait ses premiers pas et qui chute jusqu’à ce qu’il parvienne à marcher. Si nous nous étions arrêtés à la première chute, au premier échec, personne ne marcherait sur cette terre ! Le nourrisson et le petit enfant ne craignent pas l’échec. Cette peur arrive bien plus tard.
Les exemples en ce sens sont innombrables.
Réapprenons à rebondir après les échecs comme nous savions le faire petits !
On peut se libérer de la pression de la réussite !
Ce message s’adresse tant aux enfants, aux adolescents qu’à leurs parents.
Il est temps de se libérer de l’injonction pesante de la réussite scolaire à tout prix, notamment au détriment du bien-être de l’enfant !
Il est possible d’aborder la réussite différemment, en respectant les besoins de l’enfant. C’est d’ailleurs de cette manière que les meilleurs résultats sont obtenus, tout naturellement.
Par ailleurs, il existe autant de visions de la réussite que d’êtres humains sur terre et, les projections et aspirations de leurs parents peuvent diverger de celles de l’enfant. Mais, elles ne sont que rarement inconciliables. Dans mon rôle de médiateur, je guide mes patients vers la voie la plus juste et la plus cohérente pour eux, avec le soutien des parents.
